mercredi 27 juin 2012

Les Récompenses et Châtiments selon la secte maçonnique

1) Les Récompenses et Châtiments selon la secte maçonnique, 2) Si un Catholique dit "montre la charité, sinon tu iras aux Enfers" ...


— Mais la Loi naturelle proprement dite, la loi morale qui règle les actions humaines, d'où vient-elle ?
— Elle n'a point d'autre base que la nature de l'homme; c'est embrouiller les choses que d'y faire intervenir la divinité. Ox forma la Loi naturelle de ces règles qui ont pour but le bonheur et la conservation de l'espèce humaine. C'est aux sentiments inhérents à notre nature que l'ox attribue la fondation de la Loi naturelle.
— Ces vagues explications ne me paraissent guère propres à débrouiller l'origine de la Loi naturelle. Ce qu'on y voit clairement, c'est qu'elle n'a point d'autre base que la nature humaine, d'autre objet ni d'autre but que le bonheur et la conservation de l'espèce. Quels sont les devoirs qu'elle prescrit pour atteindre ce but?
— Ces devoirs se résument en trois mots : Conserve-toi. Instruis- toi. Modère-toi. Ces mots renferment toute justice et toute vertu.
— Quels sont les motifs d'observer cette loi? qu'est-ce qui en fait la force obligatoire?
— L'intérêt des individus et de l'humanité.
— Quelles récompenses sont réservées à ceux qui l'observent?
— L'affection, l'estime publique, la gloire, ou , à leur défaut, l'estime de soi-même. N'est-ce pas assez? Songez que l'espoir des récompenses ne peut que diminuer le prix du bien que nous pouvons faire.
— A merveille! et quels sont les châtiments comminés par la Loi?
— La haine, le mépris, l'indignation que la société réserve à ceux qui l'outragent.

— Fort bien ; et ce sont les principes , les dogmes et la Loi des Francs-Maçons ?
— Oui, certainement; et c'est à leur propagation qu'ils ont engagé leur foi.


Quel malheur d'être franc-maçon! Ne sait-on pas comment sont manipulables l'affection, l'estime public, la gloire, même l'estime de soi! Ne sait-on pas comment sont manipulables la haine, le mépris et l'indignation de la société?

Dans les siècles très chrétiennes, la mendicité était respectée, jusqu'au point que la secte Albigeoise et la secte Vaudoise en faisant un argument pour leurs adeptes les plus respectés et écoutés, pour leur pseudoprophètes.

Inversement, les siècles de l'apostasie ont vue un tel mésestime de la mendicité, que l'année de l'expulsion des Jésuites, 1767, a vu aussi l'institution des "dépôts de mendicité": une forme de prison pour les vagabonds, ou ils étaient détenus un an et ou le travail qu'on leur imposa étatit censé leur aider après leur détention de trouver un travail honnête. En même temps, l'industrialisme a vidé pas mal de tâches honnêtes de leurs occasion d'emploi. Le système des dépôts de mendicité a été en place l'avant-dernière décade du XIXe Siècle, les années 1880's.

Et en réponse, des gens même qui vont à la messe sont devenus mépriseurs de la mendicité.

Il y en a qui respectent pas la mendicité d'un certain écrivain et compositeur pas encore vivant des fruits légitimes de son œuvre, par exemple. Y a-t-il eu des gens aussi qui méprisaient les professeur qui mendiaient en Russie, les années 1990' parce que leur état n'était pas capable de les payer? Il y a des gens qui demandent à un homme de 43, pas le plus doué d'une attention et habilité sans faille, ni de muscles, de se mettre plutôt aux travaux manuels qu'à l'écriture. Il y a des gens qui pensent que leur mépris est la preuve qu'un homme devait prendre pour suffisante que ses ambitions intellectuelles et artiqtiques sont échouées.

Quel malheur d'être franc-maçon et de ne pas croire aux châtiments et aux récompenses après la mort! Pas non seulement pour la victime de cette campagne, si j'avais eu le malheur d'être franc-maçon et pas chrétien, mais également pour les meneurs et les gens qu'ils mènent!

Mais aussi quel malheur de refaire la pastorale de l'église en image de cette pseudopastorale maçonnique! Quel malheur pour un prêtre de conseiller quelqu'un de se taire parce que ses mots déplaisent "au public" et en dernière analyse à la loge! Quel malheur de prendre pour un désobéissant envers l'église et ses préceptes quelqu'un qui néglige, en faveur de la règle chrétienne de la foi et des mœurs, les préjugés des coparoissiens! Oui, les préjugés envers lui-même.

Hans-Georg Lundahl
Beauvais
Jour de St Stanislas d'Hongrie
27 - VI - 2012

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