mardi 27 décembre 2011

Filtrage des blogs, bis

Je viens de chercher de me connecter à deux sites d'écriture et d'hébergement des blogs. D'abord le mien:

Le site web que vous souhaitez consulter apparaît en contradiction
avec la politique de filtrage des contenus du Système multimédia
des bibliothèques de prêt de la Ville de Paris.

Page demandée :
http://www.blogger.com/home ?auth=[et c.]

Raison :
This Websense category is filtered: Blogs and Personal Sites.
 
Par contre: http://skyrock.com/m/account/subscribe.php   - pas de problèmes de connexion!
 
Notons, skyrock, comme blogger, sont des "blogs and personal sites" comme les qualifierait le logiciel américain de websense. Mais skyrock n'est pas filtré. Blogger oui.
 
Précisons que les contenus adultes et explicites sont permis sur blogger mais qu'alors le service demande un avertissement là-dessus de l'utilisateur vis-à-vis ses lecteurs. Donc, si c'était pour bloquer ça, on pourrait simplement bloquer la page d'avertissement, dans laquelle pour continuer au blog de contenu adulte ou de contenu sexuellement explicite (ce sont deux pages différentes) il faut cocher une case, et les visiteurs des bibliothèques ne pourront pas accesser à ces blogs là. Mais aux autres si. Et au service blogger pour écrire des messages, encore si.
 
Rappelons que le logiciel américain sert à des dispositions différentes, selon les catégories qu'on cherche à filtrer. Celui pour "Blogs and Personal Sites" comme celui pour Facebook et d'autres "Social Networks" est souvent filtré dans les entreprises américains qui cherchent à éviter un gaspillage de temps de part de leurs employés. Donc, filtrer cette catégorie ne sert à rien de légal ou de légitime dans une bibliothèque dont les visiteurs ne sont pas les employés mais disposent de leur temps. Par contre l'obligation légale à filtrer les blogs et sites personnels des contenus illicites dans les bibliothèques et très bien servi si la catégorie websense "sex and adult content" filtre par exemple la page d'avertissement pour les blogs concernés. La politique actuelle est liberticide de la part des mairies de Paris et de Boulogne-Billancourt. Item biensur pour mon autre hébergeur de blogs, wordpress.
 
Hans-Georg Lundahl
Château d'Eau/Paris
27 déc - la Saint Jean
- l'Année du Seigneur 2011

My Reasons for not going to Church

People have maybe presumed heresy to be the reason according to this:

"Take note of those who hold heterodox opinions on the grace of Jesus Christ which has come to us, and see how contrary their opinions are to the mind of God. . . . They abstain from the Eucharist and from prayer because they do not confess that the Eucharist is the flesh of our Savior Jesus Christ, flesh which suffered for our sins and which that Father, in his goodness, raised up again. They who deny the gift of God are perishing in their disputes...keep aloof from such persons" (St. Ignatius: Letter to the Smyrnaeans; Ch. 6:2-7:1).


However, I fully do confess with mouth and believe in heart that Jesus Christ is true God and true Man, that His true Flesh and true Blood are really present in the Eucharist. My reason for abstaining since after the Pilgrimage of Pentecost 2010 are those given by St Paul for not receiving the gift of God hastily and unworthily.

And if I have not considered myself worthy or been ready to make myself worthy by a true Contrite Confession since Monday of Pentecost 2010 - my last Confession and Communion so far - the sins are not alcohol, sodomy, plagiarism, but hatred of people calumniating me on such matters or about me having or not the right use of my reason. People praying to one side that I cannot get a wife the worse way, by sinning with her first and acting socially on the other side that I cannot get a wife the good way either - so far - by dissuading every girl I fall in love with or who falls in love with me in the parish from me. Yes, on the one hand young ladies have been dissuaded on the ground that I am no breadwinner - true so far, but not by my fault, it is not my lack of writing skills, but other peoples' lack of reading and printing and selling skills, or rather lack of will to use them for my benefit - and on the other hand they have dissuaded young people of either sex to make business even in small ways with my writings and compositions on the internet.

It is difficult to make one's peace with God, when one has no clear peace with the priest by whom the peace with God would normally pass.

Especially since Abbé Beauvais on St Andrew's Day, by saying that Therapy of the ill in and by itself justifies violence against those unwilling to take offered cures, insulted my mother and my sister, victims of psychiatry and of child welfare back in my country. Even apart from whether he did or did not still consider me as a case for such pseudo-legitimate violence. I repeat what I have said in French: St Pius X in his Catechism enumerates the cases when killing is legitimate: just war, just death penalty, legitimate self defense. Imposing a therapy on people innocent of crimes but ill and unwilling to take a cure, is not among the three. Even where illness is really the case. But of course even more so if, as is to be feared today, illness is presumed by some to "excuse" awkward behaviours that could have been, sometimes, avoided by not presuming them to be due to illness, and then presumed again to "justify" the use of force against awkward behaviours neither immoral nor illegal in themselves.

A simple case in point: if I lie in stairs, that is certainly because I do not consider the night shelters of the homeless as confortable places to sleep in. But if people presume that is due to some illness in me, they are less prone to invite me into apartments or houses (they have been less prone last year than 2005, for instance) and also less prone to let me sleep in even a staircase over night if told in advance. So, my sleeping in staircases could definitely have been avoided by not presuming this behaviour to be due to an illness. And similarily, my preferring poverty to employment could easily have become what it is in my intention, a preference for my self-employment as writer and composer, unless some had calumniated me on same account.

Now, if we had some honesty going on somewhere in such quarters, I presume I would pretty soon be seing a comment on this message. At least some explanation of position like the ones I could easily answer if they were posed. But some Pharisaic spirits take ease of answer for further proof of illness of mind. Not unlike some Moslems.

Hans-Georg Lundahl
Château d'Eau/Paris
27th Dec, St John's Day
Year of Our Lord MMXI

jeudi 22 décembre 2011

Jeans de PRÉSENT: Madiran oui, Cochet non ...

Dans le numéro 7500 (30 ans d'activité), il me semble, PRÉSENT se vante d'être le seul quottidien français qui combat la civilisation de la mort: euthanasie, avortement, malthusianisme, blasphème ... et on se plaint qu'un autre quottidien, France Soir, meurt parce que 30.000 exemplaires n'étaient pas rentables. Bon, France Soir n'a pas combattu la civilisation de la mort? Et PRÉSENT reste rentable malgré des chiffres moins de 30.000? Alors, il n'y a pas à craindre la disparition de la presse imprimée sur papier. Ça serait d'ailleurs un peu ignoble de vouloir que l'un des média subsiste par les interdictions ou entrâves faites à l'autre, que sont les blogs, où "tout le monde" est journaliste la souris à la main. Parce que ces tout le monde sont plus nombreux que les quottidiens sur papiers de combattre la civilisation de la mort, par exemple. Et parce que ce n'est pas après tout une mauvaise chose pour la presse que les grands meurent et les petits persistent.

Bon, j'aime certains écrivains de PRÉSENT mieux que les autres, notemmant Jean Madiran mieux que Jean Cochet.

Celui-là nous dit sur les négociations entre Vatican et FSSPX. Et il dit que le problème n'est pas la FSSPX. C'est beau.

Bon, à ce propos, j'aurais un propos à faire: que de part et l'autre on s'unisse d'avoir comme prolégomène doctrinale un syllabe d'erreurs qui n'a pas été souilli par les luttes récentes entre Tradis et Modernes, et qui, en plus, est, plutôt que purement Romain, Romano-Parisien. En Mars 1277 (la condamnation est donc datée en 1276, car 1277 n'était pas censée commencer avant 25 Mars ou encore Jour de Pâcques, à l'époque), dimanche de "letare iherusalem" (il était donc vêtu en rose pour des raisons purement liturgiques - juste comme un petit commentaire à ceux qui ont voulu voir autre chose que de la bonne héraldique dans le blason de Mgr Williamson), l'évêque de Paris, en accord avec Pape Jean XXI, a condamné une liste de 219, voir selon certains manuscrits 220 erreurs.

En train de lire ce beau chant d'amour à la vérité qu'est un syllabe d'erreurs, et celui-ci n'est pas mis en cause par les disputes récents où FSSPX reclame ceux de Bx Pie IX et St Pie X pour eux, je constate que les psychologues, tant métaphysiques que cliniques, ceux de nos jours, se sont trompés sur des choses.

116. Quod anima est inseparabilis a corpore, et ad corruptionem harmonie corporalis corrumpitur anima.
120. Quod nichil postest sciri de intellecto post eius separationem.
122. Quod intellectus possibilis est inseparabilis a corpore simpliciter quantum ad hunc actum qui est specierum receptio et quantum ad iudicium, quod fit per simplicem specierum adeptionem uel intelligibilium compositionem. - Error si inetlligatur de omnimoda receptione.
125. Quod intellectus speculativus simpliciter est eternus et incorruptibilis, respectu vero huius hominis corrumpitur corruptis fantasmatibus in eo.


Est-ce que même Dr. Jean-Pierre Dickès est parfaitement orthodoxe là-dessus? Ou croit-il ce que croient les autres docteurs - eux athées - sur la rélation entre cerveau, images produits dans le cerveau et - pensée?

129. Quod uoluntas, manente passione et scientia particulari in actu, non potest agere contra eam.
130. Quod si ratio recta, et uoluntas recta. - Error, quia contra glossam augustini super illud psalmi: "Concupiuit anima mea desiderare" etc., et quia secundum hoc, ad rectitudinem uoluntatis non esset necessaria gratia, set solum scientia, quod fuit error pelagii.
135. Quod uoluntas secundum se est indeterminata ad opposita sicut materia ; determinatur autem ab appetibili, sicut materia ab agente.
136. Quod homo agens ex passione coacte agit.


Il y a plein des cas où les psychiatres analysent passion comme la contrainte d'une quasi maladie. Alcool, tabac, attitudes pas si mûres (selon celui qui les juge), peut-être, selon certains, déjà l'internet.

Et peut-être même l'abbé Beauvais a-t-il été victime de cette erreur, quand le jour de St André il énuméra violence thérapeutique parmi les chefs de la violence licite, tandis que pour St Pie X - voir son catéchisme Vème Commandement - il s'agit de guerre, peines, défence légitime. Mais violence légitimé par un but thérapeutique, c'est l'hérésie favori de Robert Badinter, pour qui untel ou untel était incapable de culpabilité pénale bien que cohérent et uniquement capable de recevoir des violences comme captivité pour son propre bien thérapeutique.

Donc, je ne suis pas du tout avec l'autre Jean - voir le tître - de PRÉSENT: Jean Cochet, ce qu'il écrit dans le numéro 7501:

Aline Archambaud, élue de Seine-Saint-Denis est, elle, agrégée de lettres classiques, mais cette enseignante de banlieue (...) a ses propres combats : "La défense des Roms, la lutte contre l'internement psychiatrique ..." Vive les fous en liberté!


Sans aucune doute très sérieuse de ma part soutient-il, au moins pro forma, la thèse selon laquelle le jeune récidiviste Mathieu, meurtrier pour son deuxième viol, ou Anders Behring Breivik en Norvège, tueur de 77 personnes, sont des fous. Et des fous dont la malfaisance aurait pu être évité par un internement plus stricte. Non, ni l'un, ni l'autre sont des fous. L'acte du Norvégien n'était pas prévisible pour qui que ce soit, sauf pour ses potes dans les réseaux qui l'ont vu faire ses préparations en armements privés. L'acte bis de Mathieu était sinon prévisible au moins préredoutable dès qu'il n'a ni été pardonné par sa première victime, ni époux d'une autre fille, ni enfermé en prison non plus. Déjà traiter le premier acte comme un acte de folie, un acte profondement non-volontaire, était non conforme à la vérité et c'est ça qui est devenu délétère dans ses conséquences. Voir l'erreur 136 en haut. "L'homme qui agait par passion agit par une contrainte".

Rappelons que les grands malfaiteurs comme les fous sont rares, y compris dans le nombre des patients de la psychiatrie. Pas mal sont tout simplement asociaux d'une façon qu'on a trouvé pénible de part de quelqu'un. Et les Musulmans et les Pieds-Noirs sont deux des grands groupes qui sont très sensibles au pénible et qui sont promptes de passer de "c'est pénible" à "il est fou". Plus que certains d'autres groupes.

Il y a des cas ou à la surreaction vis-à-vis le pénible a été ajoutée une persécution discrète du Christianisme. Il y a des cas, le patient ou la patiente est "trop" Chrétien, par exemple Trinitaire, Créationniste, et le personnel comprend un Musulman forcément antitrinitaire ou un Athée forcément darwiniste, ou un Juif Cabbaliste qui est les deux, qui trouvent ces convictions "délires". En plus que presque tous ont les erreurs sur l'essence de la pensée qu'avaient déjà les Averroïstes et que condamna l'Évêque Étienne Tempier ce dimanche de laetare de Mars 1277. Qui les empêchera de traiter ainsi un Chrétien de fou? À la différence de Tempier, ils ne prennent pas le souci de définir ouvertement et publiquement quelles pensées sont considérables comme délires, c'est laissé au jugement subjectif de chaque docteur.

Où là où un délire est défini comme tel - de se croire aimé amoureusement par une autre qui affirme le contraire (érotomanie), de se croire persécuté (paranoïe), peut-être encore de croire des théories de conspiration (paranoïe) - il s'agit des choses qui peuvent être vrais mais qui sont quand même "par définition" symptomes et donc traitables comme n'étant pas vrais. Une personne peut être amoureuse et obligée par des proches à renoncer à quelqu'un ou de le faire soigner pour érotomanie. Les persécutions, politiques, religieuses, pour interêt financier, sectaire, personnel, par libido dominandi, ça existe. Les conspirations, qui est-ce qui nie que ça existe "chez les autres"? Quel démocrate niéra que Franco, Sanjurjo et Mola ont conspiré contre la Deuxième République Espagnole? Ou Lénine contre le Czar? Ou la police Czariste contre les suites des Décabristes? Ou Richelieu contre Anne d'Autriche ou contre le Duc de Buckingham, ici-même, selon Alexandre Dumas père?

Mais est-ce que le Christianisme est tout qui peut se trouver ciblé comme folie sans l'être? Non. Jean Cochet lui-même écrit comme un maghrébin hystérique hurlant "il est fou!" en deux endroits:

Echantillons (sic*) de ces phénomènes de foire. Joël Labbé, ancien ouvrier agricole, élu de Morbihan, n'a pas renoncé à ses bagues, à sa boucle d'oreille, à son blouson de cuir, ni à ses cheveux aux épaules. Il refusa un poste à la "Sécu","parce qu'il fallait se couper les cheveux".

...qui défend une contre culture (re-sic*) fondée sur la décroissance, l'internationalisme ou le droit des minorités. ...

Un asile babélien où dingos et dingotes ne viennent pourtant pas pour se faire soigner mais pour légiférer.


Superstition de la psychiatrie, encore une fois? Il y a des sens, auxquels "le droit des minorités" serait délétaire. Mais pas forcement "les droits des minorités".

Par exemple, décider sur sa coupe de cheveux n'est pas un droit par rapport à n'importe quel poste - un prêtre latin est tenu de les avoir courts, un prêtre oriental les porte peut-être plutôt en queu de cheval ou comme Joël Labbé, un mone latin soit ne les porte pas du tout, soit il en porte une couronne, selon ce qu'il est simple frère ou prêtre, par contre il n'est pas de quoi considérer quelqu'un comme dingo puisqu'il refuse un poste où son goût de cheveux n'est pas accepté. S'il renonce à un avantage, il ne peut pas être obligé d'en faire une concession aux conditions.

Par contre, si - comme le veulent pas seulement les écologistes, mais aussi un Mitterand ou une Veill qui ne le sont pas - le droit des minorités serait applicable à la "minorité" des gens voulant éviter grossesses tout en ayant du sexe par un choix de partenaire garanti de ne pas résulter en grossesses ou voulant terminer une grossesse par IVG (car c'est une minorité, ça), ce droit là "des minorités" est une erreur néfaste. Si on voudrait prétendre de le défendre selon le principe que chacun devrait vivre selon sa nature, alors, c'est condamné comme erreur:

166. Quod peccatum contra naturam, utpote abusus in coitu, licet sit contra naturam speciei, non tamen est contra naturam indiuidui.


Donc, l'hérétique en question et son évêque étaient d'accord, qui ni sodomie ni coïtus interruptus, ni quoi que ce soit comme ça étaient en accord avec la nature de l'espèce humaine. On ne devient pas utiliseur de capotes comme on naît avec deux yeux, deux narines, deux oreilles, une bouche. Mais on avait prétendu que cette tendance pouvait être une identité naturelle de tel ou tel, comme un tel peut avoir des yeux bleus ou marrons, untel peut être blonde ou brune, untel peut être grand ou petit, untel peut avoir besoin de lunettes pour bien voir ... et l'évêque dit fermement NON. L'acte contre la nature - c'est à dire contre la nature humaine en général - n'est pas même selon la nature d'un individu non plus.

Interessant, puisque ça rend vain les spéculations de tel ou tel psychologue, par exemple Krafft Ebbing, dans sa Psychopathologia Sexualis, et ces spéculations sont parfois popularisées aussi, que tel homme un peu timide ou un peu efféminé aurait une nature portée vers la sodomie. Oui, on ne peut pas faire des prédictions avec la psychologie, la "science" de prédire les actes d'autrui est condamnée:

Quod quibusdam signis sciuntur hominum intentiones et mutationes intentionum, et an ille intentiones perficiende sint ; et quod per tales figuras sciuntur euentus peregrinorum, captiuatio captiuorum et an futuri sint scientes an latrones.


Il n'est pas dit que les signes en question, sur lesquels on reconnaitrait les intentions des gens ou leur changements d'intention, ou s'il reussiront ou non, ou les événements concernant les nouveaux-venus ("événements des pélérins/arrivants") ou concernant (le devoir de? l'opportunité de?) mettre les prisonniers en prison et si dans le futur ils seront sages ou voyous, ne seraient que des signes qu'on est aujourd'hui d'accord de regarder comme superstitieux, car il n'est pas dit quels sont ces "quidam signi". La condamnation est suffisemment large pour couvrir aussi la psychiatrie - car "il est faché, il veut tuer quelqu'un, il n'est plus faché, il est sage, il va essayer de vivre de manière sage mais pas réussir, je peux le dire même s'il vient d'arriver, il vaut mieux le mettre en asile car autrement il sera un voyou" ça c'est à peu près l'attitude sécuritaire derrière l'internement psychiatrique des auparavant innocents - quoique chez les psychiatres c'est encore un petit peu plus subtil que chez les Musulmans-Averroïstes qui avaient inspiré les Averroïstes Occidentaux. Et pareil avec "il est efféminé, il veut être enculé, il flirte avec une fille, il essaie d'être hétéro, il va echouer, vaut mieux ne pas le laisser en compagnie des filles, elles seront deçues" - ça aussi est un discours où de "certains signes" on croit diviner la vie complète de quelqu'un, son intérieur mieux qu'il ne le connaît lui-même.

Donc, même si personne n'a le droit aux péchés contre la nature, personne non plus n'a le devoir de se laisser bizuter sur un pur soupçon psychologique d'être homosexuel. "Les homosexuels sont une minorité qui ont le droit de vivre" vs "les homosexuels sont une minorité qui ont le devoir de s'adapter" - ça devient absurde devant "l'acte homosexuel ne constitue pas une identité individuelle" (et donc non plus une identité collective pour les individus qui le partagent).

Aussi, pour prendre une autre autorité chrétienne indisputable, St Pierre Canise, qu'on vient de fêter, au moins j'ai l'impression que c'était lui, sinon St Fidèle de Sigmaringue, avait prêché la frugalité - autrement dit la décroissance par rapport à leur train de vie d'avant - à un village ou à une petite ville déréglée. Il ne l'avait pas imposé par armes il l'avait prêché, on l'a écouté, il a sauvé le village. Je ne connais que trop bien le dialogue entre verts et écolos en France: "la croissance économique infinie n'est pas soutenable, on a besoin de la décroissance" - "la décroissance infinie n'est pas soutenable, on a besoin de croissance" - comme si de part ou d'autre on voulait politiquement l'infini. Quoique, les spéculations de certains types, c'est à peu près "vers l'infini ou vers la faillite".

Mais, les gens qui achètent PRÉSENT sont un peu obligé de prendre Jean Cochet avec Jean Madiran et Jeanne Smits. Si la ou les versions papiers avaient été sécondaires aux blogs de chacun, on aurait pu choisir un peu mieux, quelqu'un aurait imprimé Jean Madiran avec Eva Joly (dont l'accent norvégien n'est pas un accent bavarois frelaté de l'accent hollandais), plutôt qu'avec Jean Cochet - au moins là où elle parle de la sortie du nucléaire.

Bon, bonne lecture chez Étienne Tempier!

Hans-Georg Lundahl, en hâte



*É majuscule s'écrit avec Alt/0201. Et si "counter culture" serait bon anglais (je pense avoir vu "counter-culture"), en français soit on utilise le tiret, soit on écrit pleinement comme un mot.

dimanche 18 décembre 2011

Dressing different from sonny - a virtue?

Of course, using same size as a child is absolutely not a virtue in a father. Unless you have arrested growth, lengthwise. Unless you happen to be a dwarf, due to some medical condition, that is. But somehow this is not what George F. Will means.

On any American street, or in any airport or mall, you see the same sad tableau: A 10-year-old boy is walking with his father, whose development was evidently arrested when he was that age, judging by his clothes. Father and son are dressed identically -- running shoes, T-shirts. And jeans, always jeans. If mother is there, she, too, is draped in denim.*


The dressed identically is not about identical sizes, then. There are not that many dwarves around in the American Streets or airports or malls. Nor people who though of normal size, permit sonny to wear same size, although he is still much smaller. No, the problem is not about size.

The problem is whether running shoes, T-shirt, jeans is quite ok for someone ten year old but bad in someone father of a ten year old.

I happen to think it depends on their lifestyle. If exercise means running in the sunshine around the park, running shoes is quite an option. If exercise means walks any weather, including rain, one might spare the running shoes the rain, I think. And if exercise nearly always means slow walking, one might live without the running shoes.

As for the T-shirt and the jeans, my question would be whether the T-shirt is warm enough and whether the jeans are the safest clothes for rough handling, as a certain commercial wants to make us think.

And it also depends whether one has taste for other clothes and thinks one would look shabby in jeans and T-shirt. But age is a red herring. Except, as said, for size.

If daddy ought not to wear T-shirt, jeans and running shoes, like if he is living a life where as-clean-as-possible clothes for visiting libraries and churches indicate white shirts and brown costume with loafers, or if he lives as a farmer wanting something more like rubber boots for walking through mud, maybe sonny lives that life too and ought not to wear T-shirt, jeans and running shoes because some think that appropriate for ten year olds.

Conversely, if sonny lives a life where running shoes are useful for basket ball, jeans for skating, T-shirts for not getting too sweaty, maybe it is healthy for father to enjoy those activites too. Rather than "arrested development".

Now, as for mother "draped in denim" that is a very clear indication, unless words are misused, that she does not limit denim to trousers. Maybe worn out trousers - well washed of course - have found reuse in skirts or robes, in jackets or waistcoats, in bags ... and so on. Where is the ill therein? Frugality is a good. Except when it is stingyness. Against friends or against needy, for instance.

Back to the namesake of mine - Georg=Georgius= George - so bent on insulting common men women and children for "bad taste" and "immaturity":

Seventy-five percent of American "gamers" -- people who play video games -- are older than 18 and nevertheless are allowed to vote.


So? If video games are bad, they are bad for the young. If video games are good or at least innocent, they are at least innocent past 18 as well.

Denim is the carefully calculated costume of people eager to communicate indifference to appearances. But the appearances that people choose to present in public are cues from which we make inferences about their maturity and respect for those to whom they are presenting themselves.


About maturity? Who is in a position to say this person is too immature to vote, that person too immature to be free, the other too immature to raise his own children, and so on? The one who is eager to be and appear mature thereby shows himself immature, as C. S. Lewis pointed out in another context. Up to adolescence it is a real help. But it should not hamper the freedom of adults to keep what pleasures one likes to keep from youth or childhood.

There may be people who are really not mature enough to live well, but the people who would like to help them out by ridding them of some responsibilities - such as chosing their own clothes - or dignities - such as being regarded as an adult when one is so - are certainly not mature enough to be their masters. They remind too much of African tribes A and B setting out calling each other "lazy" as if that justified slave hunt, and then go on to war each other to make slaves of the vanquished. One good thing the West has done to Africa was ending that system. If not for ever, at least for some time. Too bad that some of the West - not all - looked on themselves as an extra superior tribe in such warfare, and really wanted to exploit as well as stop atrocities.

Let no one judge you on what you eat and drink. The body is more valuable than the clothes, and the life more valuable than the food. That principle carries higher authority than observations on other men's maturity.

But there is also this: from earliest times of Christian iconography to at least 17th C. or even longer, Western culture has generally regarded children as small adults. As unripe examples of the adult species. And in this respect, clothing has usually been regarded as smaller sizes of adult clothing (once swaddling is done away with). Later, one has developed a sense of childhood as something separate. As something following, not just in temporary withholding of freedom, but in culture overall, an exception. As something one can ask to believe in the toothfairy, that no adult believes in though even that does not apply to ten year olds. When Disney arose, it was children and only children who watched Disney. That is or was part of this merely cultural distinction between adults and children.

Now, that adults are unashamed for still liking Disney, it is less of a marker. But, though there are Disney values or ideas that I now believe or know to be wrong, like belief in dinosaurs very much earlier than men or in planets "like ours" orbitting "stars like our sun" or information from the Junior Woodchucks' Handbook being heavily Antispanish, as in Anticonquistador**, or as in Antiinquisition***, that does not make a man subscribing them through disney any more misinformed than one subscribing to them through "serious adult media" whatever that is (Washington Post?). Indeed, the contrary is true, since Disney at least shows Capitalism to be tyrannous and pseudo-educating against its debtors. Vide Uncle Scrooge oppressing Donald in the most ridiculous manners. And though they have not remained my favourite literature - some works still do stand out as masterpieces of humour or weirdness, like epic quarrels between Scrooge and John D. Rockerduck or the voyage of Donald to a Swamp with creatures able to conflate themselves, worshipping an idol or even some spqce lore, when Donald gets to planets with dragons spitting fire in a rocket made of a waste bin, yes and hundreds or thousqnds of pieces with a sense of humour and goodness related to Dickens, though a bit more politically correct - this does not stamp any as immature for not knowing better things like CSLewis or Tolkien or their favourites, like Chretien de Troyes or Beowulf. The fact that adults are reclaiming the right to still like Disney is a sign things are going better again.

And the fact that Daniel Akst and George F. Will try to judge people on their supposed immaturity, is alas a sign that the health recovered in culture, cannot be taken for granted to last, since some are fighting against it.

Hans-Georg Lundahl
Sunday, III of Advent
18 - XII - 2011
from Georges Pompidou

PS: not to mention some people are judged on taste in clothes even though as paupers having little choice.

*Like me, George F. Will has the virtue of publishing his texts on more than one forum. I first read it on a Washington Post page, linked by a TFP article, but now find the source on
Real Clear Politics: Forever in Blue Jeans
http://www.realclearpolitics.com/articles/2009/04/16/forever_in_blue_jeans_96002.html

This link, I found via a blog that quoted exact same passage (probably because it was caustic and was the first paragraph) and objected to it:
Someone tell George Will: Sometimes a pair of jeans is just a pair of jeans…
http://www.amusedcynic.com/wordpress/?p=459

Maybe it is Daniel Akst whom he should be telling that ... who is here going on about another tangent, the so called problem of "willpower":
"On the problem of the appetites"
http://www.akst.com/Dan_Akst/We_Have_Met_the_Enemy.html

**Maya, Peruvian, Aztec cultures were in real history, as distinct from Disney version, not seen as subjected by Spanish crown due to immaturity or laziness, but due to diabolic depravation, such as human sacrifice. Yaqui culture was never conquered back then, since they freely accepted Catholic Christianity, taking missionaries but no soldiers from Spain. Often the stance of the Junior Woodchucks' handbook is thoughtlessly anticonquistador, as if Spaniards were not abolishing any evils by their conquest.
***Cagliostro and Galileo are regularily glorified, in part because they had to face Inquisition.

samedi 10 décembre 2011

Liberté et libertés. Un texte de M. l'abbé Grégoire Celier - lien - et mes commentaires sur deux extraits.

"Mais nous ne pouvons pas abandonner à la Révolution le terme et l'idée de liberté. Il fait partie intégrante et nécessaire de notre doctrine. Et c'est trop souvent qu'on entend des contrerévolutionnaires qui, par désir de sauvegarder le principe d'autorité, abandonneraient volontiers à l'adversaire le mot de liberté. Cela prouve que ces contre-révolutionnaires ont adopté, en fait, l'essentiel de ce qu'ils prétendent combattre. « Ils sont pour l'autorité », comme ils disent, au lieu que les révolutionnaires mettent l'accent sur la liberté. Ils n'en estiment pas moins, ensemble, que liberté et autorité sont choses qui s'excluent. Or c'est en cela que réside l'erreur révolutionnaire. Voilà où prend racine son péché. Voilà où est le noeud de l'option fondamentale."

Question pertinente

à "Et c'est trop souvent qu'on entend des contrerévolutionnaires qui, par désir de sauvegarder le principe d'autorité, abandonneraient volontiers à l'adversaire le mot de liberté." - Uniquement le mot? N'y a-t-il pas des soi-disant contrerévolutionnaires qui laissent la chose aux adversaires? Et tout en reclamant le mot pour soi, gommant chaque atteinte à ma liberté sociale dans la paroisse par la définition de la liberté, selon laquelle elle n'est pas une liberté à choisir le mal, tout en évitant de se poser la question où ils trouvent le mal dans mes démarches inhibées.

La seconde erreur est d'avoir rendu illimitée une liberté qui est, de par sa nature, limitée. Dieu n'a pas remis à l'homme une liberté illimitée dont l'usage, précisément, anéantirait sa liberté. Il a eu soin, au contraire, de placer partout devant elle un arrêt pour la retenir sur l'abîme : dans notre corps, c'est la douleur ; dans notre âme, les tourments de conscience ; dans la société, la loi et la nécessité.

Question pertinente

à "dans la société, la loi et la nécessité." - N'est-ce précisement pas dans l'augmentation des nécessités pour des plus pauvres en défiance de certaines lois que ces contrerévolutionnaires laissent de la liberté aussi la chose à l'adversaire? Une question à poser très sérieusement à St Nicolas du Chardonnet. Ce n'est pas une nécessité légale, ni naturelle de chercher au dessus de tout l'emploi. Ce n'est qu'une nécessité circonstancielle, dans certaines circonstances. Et les vouloir amplifier pour quelqu'un qui a très légalement, très moralement et très ouvertement un autre propos qui pourrait être utile tant à lui-même (en occurrence à moi-même) qu'aux autres qui y participent - sauf erreur de leur part ou persécution injuste - constitue le tort vis-à-vis moi que j'ai déploré.

Plus on augmente les nécessités de chercher "le travail" en tant qu'emploi, moins on donne l'espace à par exemple la mendicité, plus on prive des gens de leurs libertés, par exemple d'expression. Et si la définition de LA LIBERTÉ au métaphysique reste liberté ordonné vers le bien, il n'y a pas la même observation à faire vis-à-vis LES LIBERTÉS, qui sont des droits civiques. Qui sont entre autres des protections pour la possibilité de former une famille. Qu'on ne s'y trompe point, ma définition de famille est celle de la tradition catholique. Reste à savoir si les traditionnalistes savent l'appliquer ou préfèrent la réglimentation contraignante (bien contraires aux libertés des autres, donc au moins potentialement à leur liberté dans le sens chrétien et essentiel) quand il s'agit des pauvres. Un couple qui vit dans la rue, leur reconnait-on le droit des devoirs conjugaux ou est-ce que les hommes et les femmes sont mis en séparé dans les foyers? Leur reconnait-on le droit et le devoir de procréer, ou leur donne-t-on des préservatifs pour qu'ils ne le fassent pas? Pourtant, un couple dans la rue aynt ou à avoir un enfant sont prioritaires pour les assistants sociaux.

Plus on restreint les libertés des pauvres, plus on donne aux gens importants les libertés de les opprimer. Ils soutiennent tant qu'ils veulent et oppriment tant qu'ils veulent, sauf où la loi les en empêche. Par exemple la loi de 1993, selon laquelle un interdit de mendicité doit être limité dans l'espace et dans le temps. Seule la mendicité dite agressive est illégale. Ou encore, mendicité non autorisée, là où il y a des temps qu'elle est autorisée. Si au debut du siècle passé il y avait des pauvres avec des rêves contraires à la justice naturelle, il y avait aussi des riches avec des rêves contraires à celle-ci. Un des rêves était d'interdire la mendicité, pour pouvoir fausser le marché du travail en leur faveur, pour qu'ils peuvent payer mal et harceler les employés avec leurs idéalisme (désormais trop repandu par les employés de l'écôle publique) ou leur orgueil. Interdire la mendicité est une démarche de cet orgueil. Assimiler des démarches donnant donnant des pauvres - comme la musique de la rue ou mes démarches par internet - à la mendicité telle quelle en est une suite. La facilité de placer des gens socialement moins importants en psychiatrie ou des choses pareilles est une autre démarche du même orgueil. Si elle a diminué les derniers années, tant mieux. Pour une période de la France, depuis Richelieu et avant Louis XVI, on cherchait à enfermer les pauvres vagabondes dans les hôpitaux, pour les y faire servir les malades. St Vincent de Paul était pour le moins sceptique envers ça, et il refusa à donner des aumôniers à l'Hôpital de Paris.

Et si ça provoque chez certains un libertarisme aussi vers le mal - que d'ailleurs je dénonce, je n'ai jamais dit que des paires pédés ou lesbiennes doivent pouvoir se considérer ou être traités à l'égal des couples mariés, je suis contre l'avortement, et pour que la sodomie soit recriminalisée - c'est une réaction un peu désordonnée qui a néanmoins, dans la partie que est pour les libertés essentiels, une bonne base, quoiqu'elle la déborde.

Ce n'est pas parce qu'un plaisir est prisé par les pauvres qu'il est plus mauvais ou plus interdisable que le plaisir correspondant chez les riches. Ce n'est pas parce qu'un liberté est usée par le pauvre dans un cas et par le riche dans un autre qu'elle devrait être interdite au pauvre et laissé libre au riche. Et ainsi de suite. Prenons par exemple la liberté d'investissement et d'ouvrir un négoce: elle n'est pas plus mauvaise parce qu'elle commence à petite échelle sans endettement que parce qu'elle commence à grande échelle avec un crédit, donc avec une dette.*

Ni n'est une chose plus mauvaise parce qu'elle se fait à l'ancienne, et je plaide précisement pour un retour aux cierges pour s'allumer et aux feux pour se rechauffer (être contre le nucléaire n'implique pas être adepte de l'hystérie climatique ou démographique), ou pour les toilettes sèches là où il y a des jardins ou des champs pour prendre le fumier. Reruraliser la France épargnerait les ressources en salpître de Chilé, puisque les toilettes sèches dans la campagne seraient plus remplis, si vous m'excusez la grossièreté.

Tel a été mon discours pendant des années. Pour ça, et pour des faibless personnelles qui ne se voient pas dans l'oeuvre, on m'a tenu des années durant, un discours moralisant. Ce qui ne veut pas dire un discours qui donne la morale de façon équitable, plutôt un discours qui a cherché les erreurs à éviter dans ce que les paroissiens ont apperçu de ma démarche, et qu'on met les gens en garde contre les démarches pour qu'ils ne les apperçoivent pas. Comme si c'était me faire une charité.

Dans le reste, le texte de l'abbé est très acceptable. Jusqu'à banale.** Tant qu'on ne sousentende dedans les choses qu'il m'a semblé avec des raisons probables que les coparoissiens sousentendent, celles que j'ai dénoncé ici - et ailleurs. Car sinon, s'ils m'ont évité pour d'autres raisons, soit il y a eu trahison du secret du confessionel, soit une détermination de me laisser purger une faute secrète lourdement "dans le secret" mais quand même publiquement derrière mon dos, tandis qu'on répugnait à me mettre devant un tribunal et de me laisser libre après une éventuelle peine, soit les deux, soit calomnie. Précisons, que je ne semble pas avoir été dénoncé par l'autre partie, là où j'étais dans le faute.

Hans-Georg Lundahl
Bibliothèque Malraux
11-XII-2011
 
* Faire un cahier ou livre, suite. Et pour la musique, en parallèle: C'est quoi ce truc? (Texte anglais en parallèle).

** Il ne dit rien qu'un homolibéral ne pourrait souscrire dans cet article. Sauf ceux qui sont en plus directement antichrétiens. J'en reconnaîtrais certains pseudos sur les sites "gothiques" ou j'avais tellement fustigé leurs préjugés évolutionnistes et libertaires dans le mauvais sens qu'ils m'ont exclu.

jeudi 8 décembre 2011

Wiki sur Brahé, avec mes corrections

Je vous ne donne que le passage (http://o-x.fr/0qqmt) que je viens de corriger:

Tycho se donnait une discipline d’observation quotidienne ; il a formé toute une génération d’astronomes, leur inculquant l’art de l'observation et a déduit de celles qu'il effectua un système, dit « de Tycho Brahé », élaboré à partir de la théorie géocentrique de Ptolémée (vers 90 - vers 168), de la théorie mixte d'Héraclide du Pont[20] (IVe siècle av. J.‑C.), pour qui le Soleil orbite autour de la Terre, tandis que les cinq planètes tournent autour du Soleil[21], et de la théorie héliocentrique de Copernic. Dans la théorie de Tycho Brahé, le Soleil et la Lune tournent autour de la Terre immobile, tandis que Mars, Mercure, Vénus, Jupiter et Saturne tournent autour du Soleil.

Le système de Copernic (1473 - 1543) est déclaré contraire à la Bible par l’Église en 1616. Le système de Tycho Brahé fut adopté par les Jésuites.

Kepler ne parvint pas à convaincre Tycho d’adopter le modèle héliocentrique du système solaire. Brahé semble ne pas avoir eu d’objection de principe, mais s’y être opposé pour des raisons relatives aux observations. En effet, il considérait que si la Terre orbitait annuellement autour du Soleil, il devrait y avoir une parallaxe stellaire observable sur une période de six mois, au cours de laquelle l’angle d’orientation d’une étoile changerait, ce qui n’était pas perceptible. Cette parallaxe existe, mais est si faible qu’elle n’a pas été détectée avant les années 1830, 240 ans après son modèle, lorsque les instruments furent beaucoup plus précis.

Reprenant les thèses de Brahé lors du procès de Galilée, l’Inquisiteur saint Robert Bellarmin objecta que, si la Terre se mouvait, on devait observer une parallaxe. Mais aucune parallaxe n’ayant été mesurée, ce fait devenait un argument contre l’héliocentrisme. Galilée répondit que les étoiles étaient trop lointaines pour que la parallaxe puisse être vue et mesurée avec les instruments d’alors. Dans les années qui ont suivi, Galilée, par son observation sur les phases de Vénus en 1610, invalida le système ptoléméen. Le système de Brahé devint alors le principal concurrent de celui de Copernic. L’Église catholique finit par abandonner le système géocentrique de Ptolémée, au profit de celui de Tycho Brahé, plus conforme aux observations.

C’est au cours de l’année 1729 que James Bradley réussit à prouver l’automouvement de la Terre par rapport aux étoiles fixes, selon sa démonstration expérimentale de l’aberration stellaire. Bradley obtint un déplacement maximal de l’aberration de l’ordre de 20 secondes d'arc, une valeur très petite qui ne pouvait être constatée par des instruments conçus avant le début du XVIIe siècle. Ces nouvelles observations conduisirent, avec un certain flou dans la logique, à l'élimination du système de Tycho Brahe. Quant aux parallaxes, elles ne furent observées qu'un siècle plus tard par Friedrich Wilhelm Bessel en 1838.

Malgré son erreur (sic), Tycho se classe dans un mode de pensée basé sur l’observation et l’expérimentation du monde, comme ce sera le cas aussi pour Kepler ou (sic) Galilée. Il s’oppose de ce fait à un mode de pensée fondé sur le choix de systèmes seulement théoriques, comme (sic) celui d'Aristote, qui influença pourtant la recherche astronomique pendant des siècles ou comme celui de Copernic, qui, à plusieurs égards, resta fermement ancré dans la tradition des Anciens[22].

22Prosper Schroeder, La loi de gravitation universelle de Newton à Euler et Laplace, Springer, p. 13.


Bon, si et l'aberration, et la parallaxe s'expliqueraient avec des anges qui dansent avec leurs étoiles? Ou si l'aberration s'expliquerait d'un phénomène aérien, tandis que la parallaxe l'était par des anges qui dansent avec leurs étoiles?

Ceux qui ne comptaient que sur les probabilités découlant des explications depuis la gravitation pour les orbitus, ne pouvaient pas admettre un quelconque orbitus aux étoiles, encore moins un orbitus physiquement indépendant de celui du soleil et pourtant synchronisé avec lui.

Voilà le flou de logique, quand on prétend avoir prouvé Tychon Brahé dans le tort. Voilà pourquoi j'ai mis un tas de (sic) dans la rédaction précédente. Et pourquoi je cite quand même le wiki à cet état? Bien, en deux minutes quelqu'un qui n'est pas d'accord avec moi peut très bien rerédiger encore une fois en éliminant mes ajouts. Sur wiki, chaque lecteur est invité d'être

Juste une chose de terminologie: si on accepte comme définition du géocentrisme, pas l'anachronique et absurde "la terre est centre du système solaire" mais le correcte "la terre est centre immobile de l'univers" (qui décrit correctement le géocentrisme, qu'il soit vrai ou faux, que ça soit vrai ou faux), alors le système de Tychon Brahé reste géocentrique.

Hans-Georg Lundahl
Université de Nanterre
8-XII-2011, Fête de
l'Immaculée Conception
de la Bse Vierge Marie.

Je n'ai pas signé la pétition qu'on m'attribue d'avoir signé sur ONE.org

Voici un message blog que je viens de commenter:

one.org: Exiger le droit à la santé au Ghana

Mon commentaire s'y trouve-t-il? Non. Le voici:

07/12/2011 at 17:37


C’est quoi comme truc et machin?

Je reçois un mail:

Cher(e) ami(e),

Je sais que vous recevez des centaines de mails par jour et croyez moi, mon objectif n’est pas de polluer votre boîte mail. Promis, je serai très très brève et j’espère vraiment que vous prendrez quelques minutes pour lire ces lignes… et nous soutenir, comme vous l’avez toujours fait !

En début d’année, Nicolas Sarkozy a clamé haut et fort que la France était prête à mettre en œuvre, d’ici la fin de l’année, une taxe sur les transactions financières pour venir en aide aux pays pauvres. La chancelière allemande a également apporté son appui à la mise en place d’une telle taxe. Mais à ce jour, aucun accord n’a encore été conclu.

Cette taxe permettrait de lever des milliards d’euros pour venir en aide aux pays pauvres.

C’est pourquoi il faut que les citoyens en France et en Allemagne disent haut et fort à Nicolas Sarkozy et Angela Merkel qu’il est urgent d’agir !

Ensemble, lançons un appel d’urgence à « Merkozy ».

http://act.one.org/go/238?akid=2767.2026607.-nCyHC&t=3 [ne pas ouvrir! vous pourriez avoir "signé la pétition"!]

Le texte de la pétition est le suivant :

Madame la Chancelière, Monsieur le Président,

Nous vous appelons à introduire sans tarder une taxe sur les transactions financières pour le développement et la lutte contre le changement climatique. L’inaction priverait les plus démunis de milliards d’euros tous les ans. Les pays les plus pauvres ne peuvent plus attendre.

Pour une fois que le couple franco-allemand est bien d’accord, il serait peut-être temps qu’il passe à l’acte. Les pauvres ne doivent pas, une nouvelle fois, être sacrifiés sur l’autel de la crise.

http://act.one.org/go/238?akid=2767.2026607.-nCyHC&t=5 [ne pas ouvrir! vous pourriez avoir "signé la pétition"!]

Merci de votre soutien.

Sara Kianpour
ONE.org


Je ne veux pas clicquer sur le bouton “signer la pétition”, donc je clicque sur le premier lien pour m’informer, et puis je ferme la fenêtre, décidé de ne pas signer la pétition.

Ensuite je reçois un mail comme ça:


Cher(e) ami(e),

Merci d’avoir signé la pétition appelant la chancelière allemande et le président français à tenir leur promesse. Il faut qu’ils adoptent une taxe sur les transactions financières pour le développement et la lutte contre le changement climatique.



Mais je n’ai pas signé! C’est quoi comme truc débile!

Je ne crois pas que la taxe soit un bon, et je regarde sur votre blog que les buts que vous envisagez sont les contraires des miens, vous soutenez, par example “Reproductive Health Rights” et je suis contre l’avortement!

Où est la liste des signatures, je veux regarder si la mienne s’y trouve faussement!

Hans-Georg Lundahl
  • hier en commentaire
    sur leur blog:
    Georges Pompidou/Beaubourg
    7-XII-2011
  • aujourd'hui sur mon blog ici:
    Nanterre Université
    8-XII, Immaculée Conception
    de la SVM, 2011


PS, les signatures sur TFP, ce n'est pas si facile comme ça d'avoir signé, il faut vraiment avoir fait une démarche pour l'avoir fait, là on ne risque pas de compter comme signataire sans le vouloir./HGL

PPS, je suis contre cette taxe, à moins qu'elle ne soit réservé à des fusions. Je suis contre l'usage envisagé par ce taxe, car je ne crois pas au rechauffement climatique comme un danger pour le monde. Par contre, un impôt sur les fusions, sur les délocalisations, tant que l'impôt reste nationale, ça peut aider les pays à éviter les compagnies étrangères qui achètent ou rachètent une entreprise pour en délocaliser ou éradiquer la production.

Je me souviens toujours de la mauvaise démarche de Carlsberg (brasseur danois), qui après avoir acheté Pripps (brasseur suédois, accordons-le, pas le meilleur), ferme un ou deux brasseries sur les trois et 200 employés brasseurs suédois se trouvent au chômage. Si on veut de la bonne bierre danoise, il y a Faxe par exemple./HGL

lundi 5 décembre 2011

Kibbutzim and St Nicolas du Chardonnet

"...and my constant reading was seen as a kind of mental illness. Cultural activities were regarded as a superfluous addition to life. Language itself was looked upon as a suspicious activity." - http://o-x.fr/tl90

The observation was made among kibbutzim, but is equally valid for Soviet Society, for Swedish Common Schools or even Internate Semiprivate Schools - French speakers may(except for language), for Hippie Camps as they exist now, for ... some even of the attitudes I have met in St Nicolas du Chardonnet, among people otherwise supposed to be Catholic Trads.

Of course, they do not look down on Racine, or Versailles, or learning Latin. But a man who has learned Latin sufficiently well to read St Thomas Aquinas in the original text has for some years been treated as an impenitent sinner refusing to bow down to wiser men. Is this an illusion merely of my seing them through what previous socialist company has been putting me through? Somehow, I think not. For if it were an illusion, why would they then have trusted so many socialist lies about me? And if they never trusted a single socialist lie about me, how could they possibly have not, I will not say admired my talents, though others have done so, but simply sympathised enough to do some serious reading and commenting on my blogs. And how come all my close Trad Catholic friends are those I meet on FB rather than those I meet in the parish only or in the parish as well as on FB?

Sure, the parishioners of St Nicolas du Chardonnet would like me to have a good meal now and then, they are not stingy. But when it comes to earning my livelihood, I have not yet had any musician from there play my compositions, except the one where I had taken a dreadful risk in harmony (fourth and triton combined - eeek!) and payed for it as it was played before parishioners, and old ladies at that, instead of before me only, as I had asked for, for that particular one. For the reason that I had precisely taken a bad risk.

Girl after girl there as much as in Socialist Sweden just disappeared from my views, as if the parish had modernist ideals about age difference (when I at last arrived there, just before 41, I was and am looking for girls the right age for marriage, not the right age for being "my age peers"), just like the Social Democrats in Sweden. Just like the people who ran SSHL.

Constant reading or constant internet use or constant meeting people over drinks are seen as mental illnesses - by those synagogues of Satan. I am waiting to get things retracted from parish priests, but I am not exactly holding my breath. I did point out some years ago the US site of SSPX is wrong to recommend sad cases of drunkenness to AA. Just as much as children or young students should not be pushed together with peers of other confessions, under a system of religious indifferentism, neither should people fragilised enough to either be drunks, or regard themselves as such while being it not or agreeing to be treated as such while knowing themselves to be not so./HGL

Le Bon Coin Dotte eFF eRR pas si bon?

Enfants à vendre sur leboncoin.fr

On avait d'abord jugé que la vente d'un Motoculteur n'était pas sérieux, et ensuite on avait laissé passer l'annonce qui vendait des enfants. Ou qui prétendait les vendre.

Peut-être les maîtres du sérieux, qui décident quoi chez les annonceurs est sérieux ou non n'est pas à prendre avec un sérieux total et obséquieux ... alors?

HGL

jeudi 1 décembre 2011

Lettre Ouverte du père Daniel Ange (avec un leger commantaire de moi)

Lien:
http://www.france-catholique.fr/Lettre-ouverte-aux-auteurs-acteurs.html

Commentaire:

M. l'Abbé Beauvais avait dit, hier, jour de St André, que contre "l'anticulture" la défense même violente est licite.

Nuançons un peu - à sa place ou même s'il ne le fait pas lui-même: contre le blasphème, oui, car c'est une agression. Si l'on veut contre la pornographie directe aussi.

Contre des média qui par le malheur d'être d'aujourd'hui ont moins d'histoire sans blasphème que celles plus classiques, non. Le manga n'est pas plus mal en soi que le théâtre. Les deux peuvent véhiculer blasphème ("Saint Young Ones" devient au moins le blasphème objectif qu'il est quand il est lancé dans un pays chrétien, comme ça fut le cas en France quelques heures avant Fukishima, et la pièce de Castellucci comme Golgatha Picnic, n'ont jamais été autre chose même en intention), mais les deux peuvent véhiculer autre chose aussi. Donc, si Castellucci mériterait être mis à pilori - j'ai créé ça comme événement public - à côté de García, ça ne vaut pas la même chose pour tout théâtre. Et si certains manga mériteraient le feu, c'est pas la même chose pour tout manga./HGL

Gloria Deo, Pax Terrae

Nous avons hésité longtemps, Vénérables Frères, à dire publiquement et solennellement notre pensée sur le Sillon. Il a fallu que vos préoccupations vinssent s’ajouter aux nôtres pour nous décider à le faire. Car nous aimons la vaillante jeunesse enrôlée sous le drapeau du Sillon, et nous [Saint Pie X – Lettre sur le Sillon – page 2.] la croyons digne, à bien des égards, d’éloge et d’admiration. Nous aimons ses chefs, en qui nous nous plaisons à reconnaître des âmes élevées, supérieures aux passions vulgaires et animées du plus noble enthousiasme pour le bien. Vous les avez vus, Vénérables Frères, pénétrés d’un sentiment très vif de la fraternité humaine, aller au-devant de ceux qui travaillent et qui souffrent pour les relever, soutenus dans leur dévouement par leur amour pour Jésus-Christ et la pratique exemplaire de la religion. (Source: Notre Charge Apostolique, St Pie X)*


Est-ce que les fidèles de St Nicolas du Chardonnet se rendent compte que ce même Pape a aussi fait une encyclique pour condamner le maltraitement des Amérindiens (sous des régimes qui biensûr n'étaient plus sous la couronne d'Espagne) malgré le fait que des clercs avant n'avaient pas voulu croire ça?

À bien regarder les fidèles desservis par la FSSPX ou par les Passionistes (c'est bien ça?) de Papa Stronsay que je connais, les uns sont réservés comme si j'étais Silloniste (ni Silloniste, ni Zioniste, moi), ou me rappellent les condamnations des Papes du socialisme, comme si j'avais défendu des thèses socialistes. J'ai été soutenu par des socialistes, par des juifs, par des francmaçons, par des satanistes aussi, sans doute, mais je ne les ai pas soutenus dans leurs fausses idées, sauf par faiblesse des moyens, car si j'avais eu un lectorat, on aurait bien su (et le lectorat que j'ai, quand même, sait bien), que je ne suis pas socialiste. J'ai été soutenu matériellement, quand on a voulu me mettre à la faim pour mettre fin à mes errances, et, malheureusement pour ce qu'il y a de lectorat, on m'a soutenu comme n'ayant pas dit ce que j'ai dit, comme n'ayant pas les convictions que j'ai, comme n'ayant pas les buts que j'ai, comme étant en tout respect plus noble et plus spirituelle que ne me veulent mes adversaires.

On m'a accusé d'être géocentrique, donc fou - et d'autres ont dit que je ne sois même pas géocentrique mais ironique envers l'église. Je suis géocentrique, je ne suis ni fou, ni ironique envers l'église. Et si les gens qui, prenant occasion de mes écrits géocentriques, ont ironisé contre l'église auraient simplement essayé de voir si je suis après tout réellement géocentrique? S'ils auraient pris le soin de faire lire ce que je viens d'écrire? Dans le cas que j'étais vraiement ironique, ou dans le cas que j'étais vraiment fou, une lecture approfondie aurait peut-être illustré leur thèse. Pourquoi n'ont-ils pas osé recommender simplement la lecture, à tout le monde? Avant-hier j'ai fait une scène dans Les Halles. C'était en vendant des brochures pas encore brochées (à agrafer dans le dos et à couper en haut, déjà pliées aux deux endroits), sur le Géocentrisme.** Je crois que j'ai par là défait le cas des gens qui croient être habilités de me traduire au public avec leurs "il ne veut pas dire ça" ou "il s'exprime peut-être un peu mal" ou "il est réellement ironique" ou des choses pareilles.

Mais on a aussi soutenu la TFP. Or, la TFP est au mouvement Occupy pas exactement ce que St Pie X était à Sillon. Loin d'aimer les gens, ils prennent les vieilles nouvelles sur "Occupy Fort Bennings" - rechauffées par l'événement de cette année - comme totalement typiques pour le mouvement Occupy. Mais il n'y a pas d'événement totalement typique pour les Indignés. Par leur malheur, ils soutiennent des doctrines, qui heurtent la vérité catholique. Comme je l'ai constaté à Beauvais***, il y avait eu un marcher bien catholique, qui les avait quittés avant qu'ils ne quittent l'Espagne - selon leurs dires. Mais il ne font pas cette parade des fausses idées que les TFP retrouvent chaque année en soutenant Fort Bennings contre les Occupy Fort Bennings. Ou, il ne l'ont au moins pas fait devant moi, ce qui est une autre chose et l'une ne garantit pas forcément l'autre dans le bon négatif.



Il a enseigné notamment que la démocratie chrétienne doit « maintenir la diversité des classes qui est assurément le propre de la cité bien constituée, et vouloir pour la société humaine la forme et le caractère que Dieu, son auteur, lui a imprimés » 1. Il a flétri « une certaine démocratie qui va jusqu’à ce degré de perversité que d’attribuer dans la société la souveraineté au peuple et à poursuivre la suppression et le nivellement des classes ».


Il y a parmi les gens de Occupy Wall Street et c. des gens qui veulent niveller les classes. Il y en a même eu à Beauvais. Mais il y a aussi une autre chose, qui mérite d'être en partie soutenue, à savoir que le bas peuple a le droit de s'indigner quand il est traité, pas juste comme bas, mais comme destiner à être mis encore plus bas. Pas juste comme pauvre, mais comme destiné à être encore appauvri. Je dis en partie, car, comme je viens déjà de noter, les retraites ne seront pas soutenables si on continue les avortements - et les autes mesures, volontaires ou pas, contre la fécondité humaine. Ils ne seront plus soutenables pour les non retraités, un jour.**** Mais de là à dire que les banques doivent être sauvées et resauvées de la faillite mais avoir le droit de mettre les autres, les pauvres, en faillite ou sous tutelle, pas juste en reclamant le capital, mais encore interêt sur le capital, il y a un grand pas.



Nous savons bien qu’ils se flattent de relever la dignité humaine et la condition trop méprisée des classes laborieuses, de rendre justes et parfaites les lois du travail et les relations entre le capital et les salariés, enfin de faire régner sur terre une meilleure justice et plus de charité, et, par des mouvements sociaux profonds et féconds, de promouvoir dans l’humanité un progrès inattendu.


Il y en a parmi les si-dits indignés qui répondent à cette description un peu. Mais il y a aussi l'indignation proprement dit, de voir la société socialiste rompre ses promesses au peuple mais tenir plus que le promis au banques. Et je ne crois pas que les Occupy Wall Street soient trop différents des Indignés qui marchaient par Beauvais.

Par contre, s'il y a des gens qui soutiennent des propos farfelus, contre le mariage comme voulu par Dieu, parmi les Indignados (en Espagne la législation a détérioré en 2004), parmi les Occupy Wall Street, peut-on se dire que tous représentent ça? Il y a des gens là-bas qui le représentent, oui:


Beside the Che flag was a gray-bearded man hawking buttons. “I’m an anarchist,” he offered. Pointing to his buttons, he explained: “These are anti-war, these are racial, these are gender [pro-homosexual], and these are anti-authoritarian.” Other crude signs were displayed amid the eclectic conglomeration of hundreds of disgruntled protesters. “Eat the rich,” said one. Others promoted socialism or environmental “rights.” (Source: What I Saw at Wall Street)***


Il y a certains de ces boutons qu'il n'aurait pas du vendre, certes. Mais le journaliste de TFP n'a pas eu la netteté de soit compter les boutons portés soit demander le vendeur sur les ventes, pour constater si le pire était bien représentatif ou non des Occupy. S'il l'a fait, au moins il ne l'a pas donné à lire. Là, on voit une volonté manifeste de nuire. Au moins la réputation. Un panneau que j'ai vraiment vu et vraiment sur une photo était deux lettres encerclés - A et E - pour "Anarchy" et pour "Ecology", et en plus les mots: "end corporate personhood" - "mettez fin aux personnes juridiques composées de plusiseurs", ce qui n'est pas forcément vrai comme solution, mais qui serait pas non plus compris entre les condamnations déjà faites aux erreurs communistes, selon les lectures que j'ai faites moi-même. Il y a une différence entre un homme qui est riche et s'appelle Beretta, qui fait pistolets de luxe pour l'Occident, et une compagnie encore plus riche dont chaque co-propriétaire soit est moins riche qu'un restaurateur ou hôtelier de Rome, soit, s'il est quand même plus riche, c'est à cause d'avoir d'autres actions que celles de cette compagnie là. St Thomas, en motivant pourquoi la propriété privée est licite et commendable condamne justement l'indistinction des tâches qui s'ensuivrait si tout le monde était propriétaire de toute propriété productive ou autrement travaillable. Or, il y a plus de cette indistinction des tâches entre deux riches investisseurs sur Wall Street qu'entre deux hommes qui font leur proteste devant. Le vendeur de boutons avec lettres comme A pour Anarchie ou E pour Écologie fait sa tâche mal en vendant des boutons arc-en-ciel pour gender ou marteau et faucille pour communisme, et en ne pas vendant des boutons M pour Monarchie. Mais, s'il était plutôt qu'un vendeur libre un employé de Benetton en train de vendre boutons pour sa boutique, il n'est pas sûr que Benetton le ferait faire sa tâche mieux. Car Benetton, comme les autres grandes entreprises impersonnelles régistrés sur Wall Street, n'est pas un propriétaire en tant que personne qui possède, mais plutôt un conglomérat de copropriétaires. De l'autre côté, il y a un danger très fraiche avec l'idée "end corporate personhood": il nie alors les droits collectifs de l'église, des paroisses et diocèses, des monastères, et finalement aussi des communautés hippies comme Christiania. Car entre le temps que le militaire possédait le terrain et celui que Fogh Rasmussen veut le privatiser contre la volonté des "copropriétaires", il y a eu un accord entre eux et Danemark qu'ils ont été reconnus comme personne juridique. En tant que collective.

Quittons, quand même, un peu leur vue des anticapitalistes comme forcément frappés par les condamnations contre le communisme. Il y a peut-être encore pire. J'ai entendu qqc à propos de "violence thérapeutique".

La violence, en général est contre le cinquième commandement (que les Orthodoxes comptent comme sixième). Donc, si violence légitime il y a, alors c'est noté dans les commentaires sur le cinquième commendement, que voici par St Pie X:


§ 2. Le cinquième commandement.

Que nous défend le cinquième commandement : Tu ne tueras pas ?

Le cinquième commandement : Tu ne tueras pas, défend de donner la mort au prochain, de le battre, de le frapper, ou de lui faire quelque autre mal dans son corps, soit par soi-même, soit par les autres. Il défend encore de l'offenser par des paroles injurieuses et de lui vouloir du mal. Dans ce commandement Dieu défend aussi de se donner la mort, ce qui est le suicide.

Pourquoi est-ce un péché grave de tuer son prochain ?

Parce que celui qui tue usurpe témérairement le droit sur la vie de l’homme qui n’appartient qu’à Dieu seul, parce qu’il détruit la sécurité de la société humaine, et parce qu’il enlève au prochain la vie, qui est le plus grand bien naturel qu’il ait sur la terre.

Y a-t-il des cas où il soit permis de tuer son prochain ?

Il est permis de tuer son prochain quand on combat dans une guerre juste ; quand, par ordre de l'autorité suprême, on exécute une condamnation à mort, châtiment de quelque crime, et enfin quand on est en cas de nécessaire et légitime défense contre un injuste agresseur.

Dieu dans le cinquième commandement défend-il aussi de nuire à la vie spirituelle du Prochain ?

Oui, Dieu, dans le cinquième commandement, défend aussi de nuire à la vie spirituelle du prochain par le scandale.

Qu’est-ce que le scandale ?

Le scandale est toute parole, tout acte ou toute omission qui est pour les autres une occasion de commettre le péché.

Le scandale est-il un péché grave ?

Le scandale est un péché grave parce qu’il tend à détruire la plus grande œuvre de Dieu qui est la Rédemption, par la perte d’une âme ; parce qu’il donne au prochain la mort de l’âme en lui enlevant la vie de la grâce, qui est plus précieuse que la vie du corps ; parce qu’il est cause d’une multitude de péchés. Aussi Dieu menace-t-il des plus sévères châtiments ceux qui donnent le scandale.

Pourquoi dans le cinquième commandement Dieu défend-il de se donner la mort à soi-même ou de se suicider ?

Dans le cinquième commandement, Dieu défend le suicide parce que l’homme n’est pas le maître de sa vie comme il ne l’est pas de celle d’autrui. Et l’Eglise punit le suicide par la privation de la sépulture ecclésiastique.

Le cinquième commandement défend-il aussi le duel ?

Oui, le cinquième commandement défend aussi le duel, parce que le duel participe de la malice du suicide et de celle de l’homicide ; et quiconque y assiste volontairement, même comme simple spectateur, est excommunié.

Le duel est-il encore défendu quand il n’y a pas péril de mort ?

Oui, le duel même est défendu, parce que non seulement nous ne pouvons pas tuer, mais nous ne pouvons pas même blesser volontairement nous-mêmes ni les autres.

La défense de l’honneur peut-elle excuser le duel ?

Non, parce qu’il n’est pas vrai que par le duel on répare l’offense, et parce qu’on ne peut pas réparer l’honneur par une action injuste, déraisonnable et barbare, comme est le duel.

Que nous ordonne le cinquième commandement ?

Le cinquième commandement nous ordonne de pardonner à nos ennemis et de vouloir du bien à tout le monde.

Que doit faire celui qui a porté tort au prochain pour la vie du corps ou pour la vie de l’âme ?

Il ne suffit pas que celui qui a porté tort au prochain se confesse, il doit aussi réparer le mal qu’il a fait en compensant les torts qu’il a portés, en rétractant les erreurs qu’il a enseignées, en donnant le bon exemple.(source)


§ la mort, est-elle la seule violence qui est défendu par le cinquième?

Je ré-cite:


Le cinquième commandement : Tu ne tueras pas, défend de donner la mort au prochain, de le battre, de le frapper, ou de lui faire quelque autre mal dans son corps, soit par soi-même, soit par les autres. Il défend encore de l'offenser par des paroles injurieuses et de lui vouloir du mal. Dans ce commandement Dieu défend aussi de se donner la mort, ce qui est le suicide.




  • mort

  • battre quelqu'un

  • frapper quelqu'un (quelle est en français la différence entre battre et frapper?)

  • autre mal

  • tout ça même indirectement.

  • offenses par des paroles injurieuses (ça aussi même indirectement, il me semble, mais cest mon interprétation, et non le texte lui-même - d'ailleurs, ça serait dans le huitième de mentir contre quelqu'un de façon de provoquer des situations où d'autres l'offensent)

  • souhait du mal (indirectement, aussi?

  • suicide (faire de façon que quelu'un soit même tenté de suicide, est biensûr un tort grave


§ tout ce qui est normalement un tort, sauf les autres commendements (les torts sexuels, de propriété de réputation - quoique là l'insulte tombe sous les deux) est donc contre le cinquième commandement, et s'il y a une quelconque situation où quoi que ce soit de ça serait licite, c'est dans le commentaire aussi:

"Y a-t-il des cas où il soit permis de tuer son prochain ?
"Il est permis de tuer son prochain ..."


  1. quand on combat dans une guerre juste ;

  2. quand, par ordre de l'autorité suprême, on exécute une condamnation à mort, châtiment de quelque crime,

  3. et enfin quand on est en cas de nécessaire et légitime défense contre un injuste agresseur.


Trois cas, donc. Pas quatre, mais trois. Et puisque tuer est le maximum de violence, alors, les autres violences aussi sont licites dans ces trois cas précises, et point dans d'autres cas.

Le jour de St André, pourtant, Monsieur l'abbé Xavier Beauvais, qui fonctionne comme le curé de St Nicolas du Chardonnet parlait de violence légitimes. Je venais d'entendre quelque chose comme violence thérapeutique, ensuite il a parlé d'un quatrième cas, la légitime défense, pour revenir un peu quand même sur la violence thérapeutique dans un résumé. Selon lui, l'homme doit se faire violence lui-même pour être bon - correcte - et pour être sain - ça peut au moins arriver - et selon lui aussi, quand l'homme n'arrive pas à s'autoguérir, alors une violence thérapeutique devient licite envers lui. J'imagine donc, que le cas de violence à but thérapeutique constituerait le troisième, dans sa théorie morale à lui et leur théorie morale à eux, c'est à dire à ceux qui l'entendant encore après ça avec plaisir.

Je conteste que cette théorie morale puisse avoir lieu dans un chrétien. Je propose que cette théorie morale, dans laquelle violence thérapeutique serait un chef des licéités de la violence, est répandu précisément parmi les mauvais médecins, ceux qui s'excusent leurs infractions, parfois répétés jusqu'à provoquer des suicides (donc un grave tort, selon ce commandement), qui sont des infractions contre le très connu nil nocere.

Mais énumérons quelques cas où la violence semble licite dans une vue thérapeutique, et regardons, si ce ne sont pas plutôt les trois cas de St Pie X qui sont en jeu.

Si, par exemple, quelqu'un se fait le mal de se priver de nourriture, ça peut parfois être très utile pour l'organisme, pour peu que ça soit paisible quand l'estomac hurle pour qqc de manger: si par exemple on a une gastrite ou un botulisme qui amène à des vomissemnts et des diarrhées, plus vite l'estomac se vide vraiment, plus vite il se rétablirera. Il y a aussi le cas qu'il faut vomir pour se débarasser d'un poison avalé à son insu et découvert comme tel. Et il y a le cas, que l'équilibre émotionnel et spirituel dépend de jeune et prière dans le calme. Or, même là, le jeune peut être un mal immédiat, et pourtant il est licite, même louable. Parfois même indispensable.

Mais, une violence non mortelle ni estropiante faite à un-même n'est pas contre le cinquième commandement. Si on veut se flageller, on le peut.

Ou, tel ongle se déplace en dehors sa place, quand on pousse le pied fortement contre un objet dur. On donne alors aux médecins le droit de faire une violence à l'orteil, pour rétablir l'ongle à sa place. Là, il s'agit de la légitime défense, car un ongle qui n'est pas rétabli à sa place menace de se déchirer encore davantage. Merci d'ailleurs à l'hôpital de Nice et merci à la CMU que j'avais à l'époque. Quel dommage que ça fut gaspillé par l'orteil et son ongle cassé, ainsi que pour la gale, car je l'aurais bien voulu utiliser pour mes dents. Là aussi, il s'agit d'une violence en défense légitime contre la carie. Donc, pas de quoi ériger la violence thérapeutique dans un cas à lui-même, un cas autonome de la violence légitime.

Bon, il y a la chirurgie - autrefois non considéré comme partie de la médicine, à cause de l'infraction contre le nil nocere du serment d'Hippocrate. Là, selon C. S. Lewis, il y a une violence légitime, mais quand même l'autorité pour la faire vient du consentement du patient. Donc, de sa légitime défense contre une maladie qui pourrait le tuer.

Tout ce qui parle de faire une violence quelconque à une autre personne doit être, soit consenti par lui-même pour un but juste (on ne demande pas avec justesse de se faire tuer par son esclave, comme le faisait Saül, mais celui qui a une maladie fatale dans un organe non vital peut justement demander qu'il soit éloigné avec la maladie), soit encore, c'est l'autre possibilité, être justifié selon les exceptions déjà données au cinquième commandement, qui sont au nombre de trois, déjà énumérées, et la thérapie ne s'y trouve pas.

Mais quand quelqu'un est hors ses sens, quand il délire? Bon, tirer quelqu'un, très concrètement, très litéralement, du feu ou de l'eau, comme un pompier, comme on faisait avec le démoniaque que Jésus délivrait d'une légion de démons à Gadara, c'est certes licite, et il a certes eu une vrai gratitude envers ses sauveteurs une fois qu'il était sage. Et là, il s'agit de la défense légitime, car l'acteur n'était pas lui, c'était le démon qui le jetait dans le feu ou dans l'eau.

Mais quand c'est dans la volonté de quelqu'un même? Ou dans la raison de quelqu'un même? Très fermement, s'il n'a pas mérité un châtiment selon les lois divines et du pays, non.

Les violences faites par la psychiatrie comprennent médications dont les effets - dits "sécondaires" mais c'est justement la peine qui empêche le patient de continuer soit ses délires, soit ce qu'on choisit de considérer comme tels - ressemblent à ceux faits à la femme courbée pendant 18 ans par le démon, celle que Notre Seigneur délivrait dans une synagogue, le sabbat.

Et quand aux alcooliques, quand aux toxicomanes, oui, il y a d'états ou on peut les mettre dehors de la rue, mais pas forcement dans les mains des docteurs, pendant qu'ils se redressent quelques heures. Il y a des héroïniques, les aider efficacement ne me semble pas tellement être à les soigner contre leur gré (par contre, il y a des possibilités de les soigner avec métadone, moins nuisible, moins frelatée, moins accrochant que la héroïne, mais ça, c'est avec leur gré), plutôt les aider serait nettoyer la rue des dîleurs. Les cures imposées de désintoxication, c'est humiliant, et il ne semble pas exclu que la perspective de ces humiliations poussent certaines personnes - prenons Amy Winehouse comme exemple possible, même probable - à une dose létale de vodka (elle en avait bu deux bouteilles: avec vin on ne peut pas se tuer, car on s'endort avant la dose létale, mais avec vodka, oui, on peut se tuer)ou de leur autres drogues. J'avais vu une vidéo, sur laquel c'était dit que pendant une désintoxication, elle avait essayé de s'échapper et elle avait été cible d'une balle par un poste. Malheureusement, les législations sont telles que le policier ou semblable qui tire sur quelqu'un qui essaie de s'enfuir, n'est pas automatiquement un criminel, même s'il tue la personne.

Celui qui fut tué le premier janvier cette année° n'avait point menacé qui que ce soit, sauf les policiers qui essayaient de le mettre dans les mains de la psychiatrie. Et voir les manifestations des démons, ce n'est pas encore en être possédé, ni une maladie. S'il avait peur, il aurait fait mieux de prier son chapelet que de faire une scène chez ses parents, mais après qu'il savait qu'ils avaient appelé pour le mettre dans l'asile, il avait très bon droit de s'échapper s'il pouvait. Il avait le droit de légitime défense - à moins de prétendre que les policiers avaient le droit à une "violence thérapeutique", et un tel droit n'est pas là.

Ceux qui ont fait de la thérapie un motif indépendant à la violence légitime, ceux-mêmes ont aussi appliqué ce droit en tuant un bébé en Australie pour sauver un autre, son jumeau - en vain. Ils ont aussi prétendu que l'avortement est un soin pour la mère. Ils prétendent aussi que l'euthanasie est un soin pour les mourants en peine, ou qu'un homme en coma peut être débarassé de son cœur ou ses poumons pour guérir un autre.

Pour ne rien dire des gens qui déclarent Liliane Bettencourt incapable à gerer ses affaires, et ensuite, quand on voit comment mal elle supporte ça, on la met en hôpital.

Non, ce n'est pas honnête de prétendre la violence dite thérapeutique licite. Restons avec les trois - guerre, punition, légitime défense.

On n'est pas non plus honnête de vouloir, comme on à fait, empêcher un écrivain et compositeur de disposer librement de ses compositions et de ses écrits selon un propos°° qui lui paraît pas si lucratif qu'un contrat usuel, forcément, mais une possibilité d'avoir d'abord une diffusion et ensuite au moins quelque récompense. Ou de le prendre pour un fourbe plagiateur, parce qu'on le prend pour incompétent, parce qu'il y a ou parce qu'il y ait peut-être eu un psychiatre qui prétend ça. Et ça aussi m'a paru l'attitude de St Nicolas du Chardonnet envers mon œuvre. À moins que ça serait pour l'accusation du communisme, déjà répondue.

Ceci sera transmis à Menzingen, parce que je ne saurais pas être juge de mon curé ou qui fut tel jusqu'à le jour de St André, mais je n'ai pas confiance en FSSPX, si les propos sur "violence thérapeutique" ne seront pas qualifiés dans un sens acceptable pour les victimes de la psychiatrie que sommes moi-même (avant), ma mère (encore, je pense), et d'autres.

Hans-Georg Lundahl
Versailles
8 décembre 2011
Fête de l'Immaculée
Conception de la BVM.

*Notons, à propos §8 de Notre Charge Apostolique, fois après fois j'ai soumis mes écrits à la censure des prêtres. Pas avant publication, c'était déjà publié sur internet, mais après. Il sauraient, fois après fois, pu condamner si quelque chose de condamnable il y avait. On m'a fait des reproches de mauvaise foi ou mal soutenus, comme si je me posais comme prophète - ce que je ne fais pas, car pas mal de mes écrits relève des principes purement matériels, et là où je vais aux principes connus par le surnaturel, je vais à l'enseignement de l'église. Y compris, suivant l'exemple de Monseigneur Lefebvre, l'enseignement passé. Mais condamné ce que j'ai écrit, on n'a pas. Pas devant moi, de toute façon. Mépris et réproche généralisée ne constituent en aucun cas une condamnation concrète d'une erreur concrète. **Gnosticisme?, Pape Urbain VIII "Héliocentrique Lui-Même?" Non ... et Les moteurs des corps célestes. ***La Marcha de los Indignados - en espagnol. Sur l'attitude de la TFP, voir: What I saw at Wall Street - il y a des dépliants communistes distribués entre les occupeurs, parce que le communisme essaie d'infiltrer la mouvance, par ce que ce n'est pas encore gagné pour le communisme dedans. Au moins, tel était mon impression à Beauvais, anarchistes, indécis, sociaux sans autre idéologie tiennent encore tête au communistes. Et le journaliste de TFP pose ses questions de façon d'obtenir des réponses qui choqueraient son public. Quand à la barbarie décrite sur le vidéo en bas, il ne s'agit pas de "Occupy Wall Street" mais de "Occupy the Vatican", j'ai condamné le fait, dès que j'ai retrouvé la référence, dans l'article Orquería eso .... **** Voir mon article: L'Esprit d'Escalier. Il est encore sur la première page de mon vieux blog, grâce au fait que j'ai ouvert celui-ci. °Temoin d'un faux miracle abattu par des policiers? °°Faire un cahier ou livre, suite. Et pour la musique, en parallèle: C'est quoi ce truc? (Texte anglais en parallèle).